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Exposition de la vie estompée, effacement qui mène au vide, disparition dans le flottement de paysages éphémères, de moments transitoires, gommages à l’image de ce « prendre corps » du tableau de Doïna Vieru où la visibilité hésite entre vide et plein, vide empli de plénitude et de solitude. L’univers de Gérard Leyzieux se construit à partir de cette confrontation, de ce passage, entre son regard et le monde qui nous entoure.

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Étrange passage du temps à travers la mémoire du corps. Le regard est à l’œuvre pour combler le vide qui nous ronge. Un dialogue semble se nouer entre le « je » et le « tu », il devient trilogue quand le « il » impose sa présence. Dépasser ce palimpseste millénaire, effacer le tourbillon du quotidien qui veut « prendre corps » et meubler le vide et, du plus profond, éveiller sa voie/x personnelle.

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Format 12 x 21

Dos carré collé

Papier vergé

60 pp.

19 euros

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